Farah

Publié le par Kowalski

f_farah.jpgFarah est venue à Babylone contre sa volonté. Elle pense que son but est la vengeance, alors qu’en réalité elle recherche l’absolution.

Faite prisonnière par un envahisseur sans pitié qui a ravagé l’Inde, Farah est enfermée dans une cage et traitée comme un animal. Si elle peut supporter cette humiliation, elle a par contre été traumatisée par la destruction de sa cité. Elle a en effet été forcée d’assister, impuissante, à cet acte monstrueux et se sent coupable de n’avoir rien pu faire. Cette culpabilité l’obsède et la motive dans sa quête au moment où par hasard elle rencontre le Prince à Babylone.

Farah veut sa revanche, mais elle est souvent distraite par la souffrance des habitants de Babylone et de son peuple emprisonné. Elle s’est donnée pour mission de soulager leur douleur et de sauver tous ceux qu’elle pourrait.

Sa personnalité :

Même si les évènements décrits dans les Sables du Temps ne se sont jamais produits, sept ans ont passé. Avec le temps, Farah est devenue plus sage et plus mature.

Elle partage ses journées entre approfondissement de ses connaissances, en particulier dans les domaines politiques et historiques, et amélioration de ses techniques de combat. Elle a toujours une préférence pour l’arc, car elle trouve le combat à distance bien plus efficace. Gracieuse et rapide, bien qu’incapable d’accomplir les prouesses physiques du Prince, elle est tout à fait à même de s’en sortir toute seule. Dans les pires moments, elle arrive toujours à s’échapper grâce à son talent à la course et à son habileté pour se faufiler dans les plus petites fissures !

Farah est intelligente et vive d’esprit. Les années passées auprès de la noblesse médisante de la cour d’Inde lui ont appris à faire face à la cruauté. Elle est fière de sont indépendance et considère la galanterie comme une forme de chauvinisme légèrement voilé. Elle tient à prouver que les femmes ont autant droit au pouvoir politique que les hommes.

Elle a beaucoup d’empathie : elle est très sensible à la souffrance d’autrui. Cela fait d’elle quelqu’un de bien et d’attentionné, mais c’est également une faiblesse, car cela la distrait parfois d’objectifs plus importants. Alors que le Prince est un peu trop zélé pour tuer son ennemi, Farah oublie parfois que pour réellement mettre fin à la souffrance des peuples de Perse et d’Inde, elle devra affronter ce monstre.
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